L’UFC a annoncé qu’elle organiserait son premier événement en France le 3 septembre à l’Accor Arena de Paris après une bataille de plusieurs décennies avec les autorités françaises.
Le président Dana White a déclaré mardi : « Je suis ravi d’organiser notre premier événement à Paris en septembre. Ce sera une incroyable nuit de combats et un événement historique épique pour les athlètes et les fans. »
White a souligné la croissance de l’UFC – qui est basée aux États-Unis – en Europe, affirmant qu’il y a 3,8 millions de fans en France.
La marque d’arts martiaux mixtes organise des événements à Londres – et auparavant en Allemagne à Cologne jusqu’en 2009 – et affirme avoir travaillé pour combattre en France pendant près d’une décennie.
Pendant une grande partie de ce tempsL’UFC a tenté d’obtenir la reconnaissance officielle du MMA par les autorités françaises, obtenue en 2020.
« Dans les mois à venir, l’UFC continuera à travailler en étroite collaboration avec la Fédération française de boxe et la Fédération française d’arts martiaux mixtes pour promouvoir l’impact positif du MMA en tant que sport », ajoute le communiqué.
La France compte déjà des athlètes en compétition à l’UFC, dont Ciryl Gane, qui est devenu le premier athlète d’origine française à se battre pour le titre des poids lourds de l’UFC, contre Francis Ngannou. Le pays compte également la Niçoise Manon Fiorot dans la catégorie poids mouche, ainsi que Benoit Saint-Denis et le combattant franco-russe Nassourdine Imavov.
