Avec la prolifération des échanges dématérialisés, renforcée par l’épidémie de Covid-19, les menaces de hackers se multiplient, notamment sur les données bancaires. – CC0
Avec le Pandémie de covid-19, les échanges quotidiens sont de plus en plus virtuels. Une tendance qui n’est pas nouvelle mais qui s’accélère et ne devrait plus s’inverser. le
banques a commencé ce développement il y a quelques années. La prolifération des marques sans implantations physiques (Nickel, Boursorama, Hello Bank, Monabanq, etc.), le plus souvent des succursales de maisons mères historiques, a radicalement changé le secteur en facilitant le quotidien de leurs utilisateurs.
Cependant, cette simplification n’est pas entièrement bonne. Escrocs et les hackers se sont rendu compte qu’il y avait de douteuses promesses d’enrichissement dans cette évolution numérique. En ces temps d’épidémies, il est important de rester vigilant.
Les réseaux sociaux à la pointe
Les réseaux sociaux, en particulier, sont le terrain de jeu des escrocs. La stratégie qu’ils utilisent le plus est simpliste, voire grossière, mais elle peut piéger les internautes moins attentifs. La plupart du temps, les pirates utilisent de faux comptes bancaires pour se connecter avec les clients via des messages privés. principaux réseaux sociaux (Twitter, Facebook, Messenger …). Le slogan est souvent alarmiste: manque de sécurité, blocage d’une carte de crédit ou découvert à combler en urgence. L’objectif est d’obtenir les codes de connexion au compte client de la cible ou les informations de la carte bancaire (numéro, date d’expiration, cryptogramme).
Pour se défendre contre ce type de pratique, il suffit de ne fournir aucune donnée confidentielle sur ces services de messagerie. Le service client de la banque ne vous demandera jamais d’identifiants de compte ni de détails de carte. De plus, les réseaux ont mis en place un système de vérification de profil utilisant des signes clairs après le nom de l’utilisateur, dans ce cas après le nom de la banque. Sans cette indication, le compte est probablement faux. Ces règles à suivre – afin de ne pas divulguer d’informations sensibles et de vérifier l’identité de votre interlocuteur – sont valables pour tout échange dématérialisé, y compris les emails et SMS.
Méfiez-vous des bonnes affaires
Une autre grande tendance sur Internet est le message (email, SMS ou messagerie instantanée) annonçant de bonnes nouvelles. Un trop-payé d’impôts, un remboursement de la CAF, l’heureuse victoire d’un téléphone ou d’un appareil. Quelle que soit la forme, le principe reste le même. Il s’agit de récupérer les informations bancaires de la victime pour lui envoyer les fonds qu’elle aurait miraculeusement gagnés. Certaines contrefaçons sont particulièrement bien faites et il n’est pas surprenant que des internautes moins attentifs, souvent des personnes âgées, tombent amoureux d’eux.
Encore une fois, la prudence est de mise. Vous devriez vérifier les liens fournis – la plupart du temps, ils ne sont pas sûrs ou mènent à des sites suspects. En cas de doute, il est indispensable de contacter l’entreprise ou l’administration en question. le site gouvernemental dédié c’est très utile. Enfin, les dangers proviennent souvent des smartphones et Magasins (Google PlayStore ou Apple AppStore). Vous devez mettre à jour les applications régulièrement pour éviter malware comme Cerberus, capable d’intercepter les codes de connexion bancaire et les SMS de sécurité envoyés pour des échanges sécurisés.