TF1 et M6 vont vendre des chaînes à Altice pour obtenir l’approbation de l’accord de fusion – TBI Vision

Les sociétés françaises TF1 et M6 et Altice Media sont entrées en négociations exclusives pour la cession au groupe de Patrick Drahi de deux chaînes de divertissement phares détenues par les diffuseurs.

TF1 est en pourparlers pour vendre sa chaîne TFX à Altice si l’accord de fusion de TF1 avec M6 est approuvé.

La cession sera soumise à l’approbation de la fusion par les autorités françaises de la concurrence et des médias. La fusion devant être finalisée début 2023, TFX restera sous le contrôle de TF1 tout au long de l’année.

Parallèlement, M6 a confié à Altice Media la négociation exclusive pour la cession de 6ter, également soumise à l’approbation de la fusion.

La paire a déclaré que la vente de la chaîne de divertissement centrée sur les femmes, TFX, anciennement connue sous le nom de NT1, et de la chaîne de divertissement 6ter aiderait le groupe combiné à se conformer à la législation française en l’empêchant d’être en position de posséder plus de sept chaînes TNT. .

M6 envisage également de rendre à l’État la fréquence TNT actuellement détenue par sa chaîne Paris Première pour se conformer aux règles. Cependant, Paris Première restera détenue par le groupe combiné et diffusera via le câble et le satellite.

TF1 a déclaré qu’un accord aiderait la concurrence dans les émissions françaises en renforçant un acteur établi qui exploite déjà trois chaînes nationales sur la TNT.

Les deux diffuseurs ont choisi de conserver leurs chaînes les plus importantes sur la plateforme hertzienne, à savoir TMC de TF1 et W9 et Gulli de M6.

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Le patron d’Altice, Drahi, avait précédemment indiqué son large soutien à la fusion de TF1 et M6 et signalé son intérêt à acquérir des chaînes auprès des diffuseurs pour leur permettre de se conformer aux règles.

Le magnat des télécoms rival Xavier Niel, propriétaire d’Iliad Telecom / Free, s’est au contraire fermement opposé à la fusion et a tenté de porter l’affaire devant les régulateurs européens de la concurrence plutôt que ce qu’il considère comme un chien de garde français trop docile.

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